Quand se finit l’amour
Des tendres morts en contours
Je n’ai…
Que tes yeux en souvenirs
Mais je me noie
Je suis sans toi
Et je me laisse
Aller aux longs courants
Des années m’emportant
J’erre…
Mais je te noie
De mes états
Quant va-t-il naître ?
Le souhait d’être l’autre
Des hauts et des bas dans le nôtre…
Je dis les eaux secours
Je dis que j’aime les jours
Qui ne s’espèrent
Mes matins sont humides
Et tes sens dans le vide... l’air
N'est plus que tendresse
Salon de lecture - Poésies furtives